ffayolle a écrit : ↑14 oct. 2019, 10:57
Merci pour vos encouragements
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Pour la motorisation et avant tout la transmission, j'ai regardé la solution que François a utilisé pour St-Maxime. Michel Hugon utilise un roulement à aiguilles. Soyons honnête, je n'ai pas tout compris mais je vais me documenter.
Quoi, je ne suis pas clair ?
La plupart des motorisations des ponts tournants (abstraction faite des systèmes où le moteur est directement introduit dans la poutre) sont constitués d'un moteur dont l'arbre de sortie est relié à la poutre.
En fait généralement, il existe un arbre de sortie du moteur d'un côté et un axe fixé perpendiculairement à la poutre de l'autre, les 2 étant reliés mécaniquement. La poutre elle-même repose sur des roues qui parcourent le rail circulaire de la fosse. C'est donc ces roues (n=4) qui supportent le poids de la poutre ainsi que celui des machines placées dessus.
La grande difficulté est de rendre parfaitement coaxial le système [arbre moteur, axe de la poutre] de façon à n'avoir aucun point dur pendant la rotation. Il vaut mieux d'emblée oublier une solution avec cardan.
Sur la photo ci-dessous, le moteur est en place, l'arbre est visible mais ni l'axe l'axe de la poutre, ni la jonction ne sont installés. Et pour cause...
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Le système promu par Michel HUGON zappe totalement cette jonction +/- élastique entre l'arbre moteur et l'axe de la poutre.
La poutre est solidaire d'un cylindre usiné qui repose directement sur la sortie moteur via un roulement à aiguille. Les 4 roues de la poutre n'ont plus besoin de supporter l'ensemble, leur rôle est purement décoratif. Elles assurent malgré tout la stabilité du pont quand les machines montent ou descendent de plaque.
C'est donc le bloc moteur qui assure la totalité de la charge de la poutre et des locs montées sur plaque.
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L'ensemble est parfaitement coaxial et très stable.
La continuité électrique est assurée par 2 palpeurs qui viennent frotter sur les 2 pistes portées par la bague visible à mi-hauteur du cylindre.
Dans la poutre, les fils de sorties sont directement reliés aux rails et dans le cas de St-MAXIME à un petit décodeur de fonctions qui assure l'éclairage du signal ainsi que des lampes flash pendant le mouvement de la poutre.
