Pourquoi cela te prive d'un démontage ultérieur (plus qu'avec des T) ?Eiffel a écrit : Normalement les chandelles devraient être en forme de T, afin d'assurer un appui plus large. Compte tenu de la taille du réseau et de chacun des niveaux, j'ai choisi de me contenter de I pour simplifier le montage. Mais je me prive ainsi de la possibilité de démontage ultérieur...
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Owl's pit.
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Re: Owl's pit.
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Re: Owl's pit.
Geb,
Parce que les vis de fixation sont mises par le dessus et non par le dessous
Fabrice
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Re: Owl's pit.
bonjour a tous bonjour Eiffel.. pour la continuation de ton réseau bon courage ..attention!!a ne pas loucher...
très beau travail ...bonne continuation. au fait la triple c est fabrice qui la faite très belle chose.... en existe t il toute faite?
qui fait ce genre d appareil?
cordialement marcou
très beau travail ...bonne continuation. au fait la triple c est fabrice qui la faite très belle chose.... en existe t il toute faite?
qui fait ce genre d appareil?
cordialement marcou
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Re: Owl's pit.
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Re: Owl's pit.
pour compléter la réponse de Fabrice:Geb a écrit :Pourquoi cela te prive d'un démontage ultérieur (plus qu'avec des T) ?
Avec un T, si on veut bouger la chandelle, il est possible de laisse en place la partie supérieure du T et de ne démonter que la partie verticale de la chandelle pour la repositionner ailleurs et lui octroyant une nouvelle barre horizontale.
Dans mon cas, j'ai fait au plus simple, en vissant directement dans la tête de la chandelle à travers le plateau. Donc après mise en place du décor, plus question de chercher la vis pour envisager un démontage.
Picard un jour, Picard toujours.
Fred.
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Re: Owl's pit.
La suite de la pose de la voie.
3éme étape, la pose définitive des traverses.
J'ai choisi de ne pas incorporer de semelle liège ou dépron entre la voie et le plan de roulement. D'abord parce que les trains rouleront au pas, manœuvres obligent, et ne généreront donc pas de phénomènes de résonance, et ensuite parce que je veux simuler une voie faiblement armée, et donc peu ballastée, ce qui me dispense de toute représentation de "banquette".
Donc pose directe sur le contreplaqué du plan de roulement.
C'est là que j'ai apprécié pleinement le système Décapod, puisque les tirefonds suffisent amplement à la fixation des traverses, sans qu'il soit besoin de les coller préalablement. Il suffit donc de positionner la traverse en la glissant sous les profilés, et d'enfoncer les tirefonds.
Cette opération est grandement simplifiée en utilisant un cloueur à bordée, petit ustensile génial provenant du modélisme naval: on insère le tirefond dans le pré-perçage de la traverse, on positionne le cloueur bien verticalement et on enfonce sans forcer jusqu'à butter sur la traverse. Simple, efficace et on évite de tordre les tirefonds.
Pour l'espacement des traverses, je me suis inspiré de la réalité en trichant cependant un peu . Les Anglais utilisaient en effet des coupons de rails, avec un travelage à espacement différencié. En clair, chaque espace entre traverses est différent, plus large au centre, et plus resserré vers les extrémités. Pour me simplifier la vie, j'ai donc uniformisé, en ne retenant qu'une dimension pour les intervalles médians, seuls les extrémités étant plus courts. L'espacement est ensuite garanti par l'utilisation d'une cale. J'ai également varié le type de traverse, en mixant les 2 et les 3 trous (proportion de 2 pour 1).
Au final, ça donne ça.
Voilà, la voie courante est posée. A venir, la construction et l'incorporation d'une aiguille sur la voie de gauche.
Encore une première et un grand moment pour moi!
A suivre.
3éme étape, la pose définitive des traverses.
J'ai choisi de ne pas incorporer de semelle liège ou dépron entre la voie et le plan de roulement. D'abord parce que les trains rouleront au pas, manœuvres obligent, et ne généreront donc pas de phénomènes de résonance, et ensuite parce que je veux simuler une voie faiblement armée, et donc peu ballastée, ce qui me dispense de toute représentation de "banquette".
Donc pose directe sur le contreplaqué du plan de roulement.
C'est là que j'ai apprécié pleinement le système Décapod, puisque les tirefonds suffisent amplement à la fixation des traverses, sans qu'il soit besoin de les coller préalablement. Il suffit donc de positionner la traverse en la glissant sous les profilés, et d'enfoncer les tirefonds.
Cette opération est grandement simplifiée en utilisant un cloueur à bordée, petit ustensile génial provenant du modélisme naval: on insère le tirefond dans le pré-perçage de la traverse, on positionne le cloueur bien verticalement et on enfonce sans forcer jusqu'à butter sur la traverse. Simple, efficace et on évite de tordre les tirefonds.
Pour l'espacement des traverses, je me suis inspiré de la réalité en trichant cependant un peu . Les Anglais utilisaient en effet des coupons de rails, avec un travelage à espacement différencié. En clair, chaque espace entre traverses est différent, plus large au centre, et plus resserré vers les extrémités. Pour me simplifier la vie, j'ai donc uniformisé, en ne retenant qu'une dimension pour les intervalles médians, seuls les extrémités étant plus courts. L'espacement est ensuite garanti par l'utilisation d'une cale. J'ai également varié le type de traverse, en mixant les 2 et les 3 trous (proportion de 2 pour 1).
Au final, ça donne ça.
Voilà, la voie courante est posée. A venir, la construction et l'incorporation d'une aiguille sur la voie de gauche.
Encore une première et un grand moment pour moi!
A suivre.
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Re: Owl's pit.
Et comme d'habitude, très pédagogique...
Fabrice Fayolle
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Re: Owl's pit.
Fabrice, c'est un peu le but.
Mon réseau n'a rien d'exceptionnel et ce n'est pas une oeuvre d'art, simplement j'essaie d'expliquer le mieux et le plus simplement possible ce que je fais, dans l'espoir que ça donne envie et que ça serve à ceux qui n'ont pas encore osé franchir le pas de la construction.
Si ça peut déclencher des vocations...
Mon réseau n'a rien d'exceptionnel et ce n'est pas une oeuvre d'art, simplement j'essaie d'expliquer le mieux et le plus simplement possible ce que je fais, dans l'espoir que ça donne envie et que ça serve à ceux qui n'ont pas encore osé franchir le pas de la construction.
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Fred.
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Re: Owl's pit.
Suite des épisodes précédents.
Nous nous étions quittés avec la voie courante posée, ce qui correspondait à mon idée initiale et donnait ça: A la vue du plan de voie et de la place disponible, l'envie d'une aiguille supplémentaire et d'un bout de voie en impasse me prend.
Mais comment implanter une aiguille dans la courbe de la voie d'évitement?
La place est comptée et aucune aiguille du commerce de permet une insertion convenable.
Seule solution donc, construire l'aiguille intégralement, mais voilà, mais j'ai jamais fait ça moi!
Et me revient le souvenir d'un fil parlant de l'utilisation d'aiguille en HO pour construire une aiguille en 0...
Voilà une bonne idée à essayer!
En cherchant dans mes tiroirs, je trouve une aiguille courte avec déviation à droite, qui devrait convenir et je m'empresse de la démonter pour en extraire les parties intéressantes: pointe de cœur, lames, et rails fraisés correspondants. Après tout, le reste n'est que du rail facilement façonnable.
Premier constat, le cœur est en plastique et rejoint vite fait la poubelle. Deuxième constat les lames sont bien courtes et l'appareil étant droit, l'insertion en l'état n'est pas possible!
Il va donc y avoir un peu plus de travail qu'imaginé!
Au travail. Pour être sur de coller à la géométrie de la voie, je décide de construite l'appareil sur place, et dispose donc à blanc, les différents éléments, histoire de prendre les repères. Bon ça a l'air faisable, et je commence donc par fixer provisoirement les rails en me servant des traverses Décapod comme cales d'écartement.
Puis je coupe les rails à bonne longueur et je façonne la pointe de cœur en taillant les 2 coupons en biseau, jusqu'à obtenir le bon angle, le tout étant soudé sur une traverse époxy. Les rails extérieurs et intérieurs sont ensuite cintrés et intégrés. Puis les lames sont ajustées et insérées.
Nous nous étions quittés avec la voie courante posée, ce qui correspondait à mon idée initiale et donnait ça: A la vue du plan de voie et de la place disponible, l'envie d'une aiguille supplémentaire et d'un bout de voie en impasse me prend.
Mais comment implanter une aiguille dans la courbe de la voie d'évitement?
La place est comptée et aucune aiguille du commerce de permet une insertion convenable.
Seule solution donc, construire l'aiguille intégralement, mais voilà, mais j'ai jamais fait ça moi!
Et me revient le souvenir d'un fil parlant de l'utilisation d'aiguille en HO pour construire une aiguille en 0...
Voilà une bonne idée à essayer!
En cherchant dans mes tiroirs, je trouve une aiguille courte avec déviation à droite, qui devrait convenir et je m'empresse de la démonter pour en extraire les parties intéressantes: pointe de cœur, lames, et rails fraisés correspondants. Après tout, le reste n'est que du rail facilement façonnable.
Premier constat, le cœur est en plastique et rejoint vite fait la poubelle. Deuxième constat les lames sont bien courtes et l'appareil étant droit, l'insertion en l'état n'est pas possible!
Il va donc y avoir un peu plus de travail qu'imaginé!
Au travail. Pour être sur de coller à la géométrie de la voie, je décide de construite l'appareil sur place, et dispose donc à blanc, les différents éléments, histoire de prendre les repères. Bon ça a l'air faisable, et je commence donc par fixer provisoirement les rails en me servant des traverses Décapod comme cales d'écartement.
Puis je coupe les rails à bonne longueur et je façonne la pointe de cœur en taillant les 2 coupons en biseau, jusqu'à obtenir le bon angle, le tout étant soudé sur une traverse époxy. Les rails extérieurs et intérieurs sont ensuite cintrés et intégrés. Puis les lames sont ajustées et insérées.
Picard un jour, Picard toujours.
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