Je mélange le numérique (alimentation en DCC du réseau (pour mieux piloter le matériel roulant et le sonoriser), ascenseur fonctionnel (avec déplacement de la cabine et ouverture des portes du haut et du bas par servo-moteurs), effets sonores (cris de mouettes, musique et éclairage disco dans la péniche, animation lumineuse du "food-truck"), verrouillage du pont tournant (par taquets en impression 3D et servo-moteurs) et l'analogique (éclairage extérieur et intérieur des bâtiments et des modules, rotation du pont etc).
C'est tout ça qui nécessite autant d'interrupteurs.
J'ai pris cette option qui serait certainement simplifiable avec beaucoup moins de commutateurs avec Arduino (mais je n'y connais rien
) et j'avais déjà acheté depuis pas mal de temps mes commutateurs, ILS et fournitures diverses.De plus, j'ai l'impression de me retrouver dans un cockpit des années 80
La partie purement TCO est aussi visuellement approchante des TCO des années 50 à 80 que je voudrais représenter.
